Mourir au travail en août 2009
Publié le 23 Août 2009
D'après l'Agence Européenne pour la Sécurité et la Santé au Travail (OSHA), "chaque année, dans
l'Union européenne, on recense 5720 accidents mortels liés au travail, et des millions de personnes se blessent ou souffrent de graves problèmes de santé sur leurs lieux de
travail".
Hier, samedi 22 août vers 5 heures du matin, c'est une jeune vie de 19 ans qui a été fauchée. D'une façon particulièrement horrible : le corps d'un jeune intérimaire a été retrouvé par ses collègues, coincé dans un hachoir à viande de l'usine Tendrial, dans la Drôme. Une enquête est en cours, qui déterminera les causes de cet accident. Alexandre travaillait depuis 3 mois comme intérimaire (source Dauphiné Libéré).
19 ans, toute la vie devant soi… plein de choses à vivre, à faire… à découvrir. Construire son avenir, fonder une famille… la vie quoi ! Et maintenant le néant face à la douleur d'une famille entière qui vit, à l'heure où j'écris ces lignes, un véritable cauchemar. L'horreur absolue de la perte d'un enfant, d'un gamin, leur gamin.
Le drame absolu, irrémédiable. Ma compassion est bien peu de chose, mon émotion dérisoire, mais elles sont sincères et mes pensées vont à cette famille de l'Ardèche, aux ami(e)s de ce jeune homme, à son entourage.
Hier, samedi 22 août vers 5 heures du matin, c'est une jeune vie de 19 ans qui a été fauchée. D'une façon particulièrement horrible : le corps d'un jeune intérimaire a été retrouvé par ses collègues, coincé dans un hachoir à viande de l'usine Tendrial, dans la Drôme. Une enquête est en cours, qui déterminera les causes de cet accident. Alexandre travaillait depuis 3 mois comme intérimaire (source Dauphiné Libéré).
19 ans, toute la vie devant soi… plein de choses à vivre, à faire… à découvrir. Construire son avenir, fonder une famille… la vie quoi ! Et maintenant le néant face à la douleur d'une famille entière qui vit, à l'heure où j'écris ces lignes, un véritable cauchemar. L'horreur absolue de la perte d'un enfant, d'un gamin, leur gamin.
Le drame absolu, irrémédiable. Ma compassion est bien peu de chose, mon émotion dérisoire, mais elles sont sincères et mes pensées vont à cette famille de l'Ardèche, aux ami(e)s de ce jeune homme, à son entourage.